Toutes les civilisations ont été créées autour de points d’eau : mers, lacs, rivières ou fleuves, puisque la vie ne peut pas exister sans l’eau. Les Égyptiens n’ont pas dérogé à cette règle. Leur point d’eau : le Nil. Ils se sont donc établis autour du plus long fleuve du monde faisant 6718 km de long. De ce fleuve, ils occupèrent jusqu’à env. 1800 km, étant donné qu’ils eurent une zone d’influence allant jusqu’à la IV^e cataracte ; ses méandres traversaient alors la Nubie, le pays de Ouaouat, puis le pays de Kouch, et s’enfonçait au cœur de l’Afrique orientale.

Aujourd’hui, ils en occupent 1200 km ;10 pays sont frontaliers du Nil et sont censés se partager ses précieuses eaux.

Comment les Égyptiens ont-ils utilisé et géré cette eau à l’époque antique ?

Comment la gèrent-ils aujourd’hui ? Et, comment la partagent-ils avec les autres pays frontaliers ?

Autant de questions auxquelles je m’efforcerai de répondre face à ce fleuve qui est aujourd’hui un enjeu majeur !

RECONNAÎTRE UN ÉGYPTIEN À SON APPARENCE, résumé :
Mettre en avant ce qui est visible au premier coup d’œil lorsque nous regardons un Égyptien sur un monument ou un artéfact, est l’objet de ce cours de civilisation qui s’articulera en deux volets, la période archaïque et l’Ancien Empire (de la dynastie 0 à la VIe dynastie) et le Moyen Empire (XIe-XIIIe dynasties).
Nous ferons connaissance avec la garde-robe pharaonique et ses accessoires, les perruques portées essentiellement par la haute société, les bijoux qui complétaient leur apparence, et l’évolution des soins de corps qui parachevait leur présentation, et améliorait leur vie au quotidien. Je tiens à préciser que le terme de « mode » tel que nous l’entendons n’a pas existé en Égypte ancienne et l’évolution des vêtements, perruques, bijoux et de la manière de se maquiller est dû essentiellement à des pratiques ancestrales liées au climat du pays de Kemet, à des améliorations techniques ou des procédés nouveaux venus de l’étranger, mais aussi à des évolutions religieuses et funéraires.
Rejoignez-moi au « salon de la mode et de la beauté » à l’époque pharaonique !!!

RECONNAÎTRE UN ÉGYPTIEN À SON APPARENCE, résumé :
Mettre en avant ce qui est visible au premier coup d’œil lorsque nous regardons un Égyptien sur un monument ou un artéfact, est l’objet de ce cours de civilisation qui s’articulera en deux volets, la période archaïque et l’Ancien Empire (de la dynastie 0 à la VIe dynastie) et le Moyen Empire (XIe-XIIIe dynasties).
Nous ferons connaissance avec la garde-robe pharaonique et ses accessoires, les perruques portées essentiellement par la haute société, les bijoux qui complétaient leur apparence, et l’évolution des soins de corps qui parachevait leur présentation, et améliorait leur vie au quotidien. Je tiens à préciser que le terme de « mode » tel que nous l’entendons n’a pas existé en Égypte ancienne et l’évolution des vêtements, perruques, bijoux et de la manière de se maquiller est dû essentiellement à des pratiques ancestrales liées au climat du pays de Kemet, à des améliorations techniques ou des procédés nouveaux venus de l’étranger, mais aussi à des évolutions religieuses et funéraires.
Rejoignez-moi au « salon de la mode et de la beauté » à l’époque pharaonique !!!

Lorsque l’on aborde la religion égyptienne, le premier dieu dont on nous parle est le dieu Rê. Ce dieu du soleil diurne et nocturne, englobant donc la lune, semble être le plus grand dieu. Je vais essayer de vous démontrer le contraire. Que représente Horus pour les Égyptiens ? Pourquoi a-t-il autant d’importance au point d’être le premier de toutes les divinités ? Partons à la rencontre d’Horus pour découvrir la pensée égyptienne vue à travers la religion !

La Villette accueille à nouveau une exposition organisée par World Heritage Exhibitions (WHE), après l’exposition Toutânkhamon en 2019, et inaugure le circuit européen de « Ramsès & l’or des Pharaons » qui a déjà eu lieu aux États-Unis.
Cette exposition rayonne autour de Ramsès II, et retrace sa vie, sa famille, ses sujets, ses contemporains, ses guerres ou encore ses monuments. Les 180 artéfacts présentés ne datent pas tous de son règne. D’ailleurs, le titre de l’exposition ne note pas de numéro après le nom de Ramsès. Et, que renferme la seconde partie de ce titre, « l’or des pharaon » ?
Nous allons découvrir ce qui se cache derrière le titre de cette exposition.
Aujourd’hui, nous allons nous mettre dans l’ambiance de la future exposition « Ramsès & l’or des Pharaons » qui ouvrira ses portes le 7 avril prochain.

Cette créature fabuleuse incarne l’une des images les plus populaires de cette culture égyptienne. Nous découvrirons ensemble d’où vient cette forme tirée du bestiaire fantastique ; à quoi et à qui était-il associé ? En sillonnant les siècles pharaoniques et en nous arrêtant sur des histoires situées entre le romanesque et l’anecdotique, nous ferons connaissance avec cette forme sculpturale proprement égyptienne.